dimanche 13 janvier 2019

Il était une fois... la sauce satay version thaï... aïe aë aïe!



Une recette aussi facile que rapide à réaliser pour un résultat bluffant… nos papilles se baladent allègrement en Thaïlande le temps de quelques brochettes ! 
Cette recette est dédicacée à une Tutti-collègue qui soigne régulièrement ma ligne avec ses délicieuses pâtisseries sans gluten!! 


Combien ?
6 à 8 personnes en accompagnement de brochettes ou autres


Quoi ?
-200g de cacahuètes grillées non salées
-160ml d’eau
-4 gousses d’ail
-2 cuillères à café de sauce soja « superior dark » (plus épaisse que la « light »)
-4 cuillères à café d’huile de sésame (sinon tournesol fera bien l’affaire)
-4 cuillères à soupe de sucre brun
-4 cuillères à soupe de Vegeterian Stir-Fry Sauce de Lee Kum Kee
-1 cuillère à café de pâte de tamarin 
-2 cuillères à café de jus de citron vert
-1 cuillère à café de piment de cayenne
-200ml de lait de coco (1 petite brique)


Comment ?
Etape 1 : Mettez tous les ingrédients dans un blender et mixez jusqu’à l’obtention d’un appareil homogène (mais qui ait de la texture).
Etape 2 : Faites réchauffer avant de servir… si cela est trop épais rajoutez de l’eau ou du lait de coco.

dimanche 11 octobre 2015

Il était une fois... une sauce tomate à tout faire



Combien ?
2 pots de sauce.


Quoi ?
-1kg de tomates (une fois coupées)
-1 oignon
-2 gousses d’ail
-2 cuillères à café d’origan
-2 à 3 cuillères à soupe de sucre
-1 cuillère à soupe de concentré de tomate dilué dans 3 cuillères à soupe d’eau
-6 feuilles de basilic
-1 cuillère à soupe de sauce tamari
-3 pincées de poivre
-3 pincées de sel


Comment ?
Étape 1 : Laver les tomates, retirer le pédoncule et coupez-les en morceaux grossiers. Émincez l’oignon et passez au presse-ail les gousses d’ail.
Étape 2 : Dans un fait-tout, à feu vif, faites revenir l’oignon et l’ail dans 4 bonnes cuillères à soupe d’huile d’olive. Ajoutez l’origan et remuez-bien jusqu’à ce que l’oignon soit translucide.
Étape 3 : Ajoutez les tomates et remuez bien. Passez à feu doux. Laissez mijoter pendant deux bonnes heures en écrasant régulièrement les tomates à l’aide de votre cuillère en bois.
Étape 4 : Au bout d’une demi-heure de cuisson, ajoutez le sucre (commencez par 2 cuillères et allez jusqu’à 3 si les tomates sont trop acides), la sauce tamari et le concentré de tomates. Mixez le tout à l’aide d’un bras mixeur.
Étape 5 : Une demi-heure plus tard, ajoutez le sel et le poivre ainsi que les feuilles de basilic.
Étape 6 : Goûtez avant de mettre en pot afin de savoir si l’assaisonnement vous convient. Enlevez les feuilles de basilic avant la mise en pot.

dimanche 16 novembre 2014

Il était une fois... un duo de confiotes qui dépotent.



Avant d'entamer ma période "soupe", voici deux recettes rescapées de ma période "confiture". Du fruit et pas de chichis!! 

Confiture de poire avec un soupçon de gingembre.

Combien ?
2 petits pots.


Quoi ?
-500 g de poires Doyenné du Comice
-250g de sucre
-3 cuillères à soupe de jus de citron
-1g de gingembre


Comment ?
Étape 1 : Pelez les poires et coupez-les en morceaux. Versez-les ensuite dans un saladier, ajoutez le sucre, gingembre et le jus de citron. Laissez macérer au frigo pendant une nuit.
Étape 2 : Faites cuire à feu doux pendant 30 minutes. Mixez, faites le test de l’assiette pour voir si la confiture est cuite sinon prolongez la cuisson.
Étape 3 : Faites bouillir les bocaux, faites-les sécher sur un chiffon propre et juste quelques minutes (tête en bas) et  remplissez-les de la confiture encore chaude. Fermez bien et laissez refroidir tête en bas.



Confiture de framboise avec une pointe de coriandre.

Combien ?
3 petits pots.


Quoi ?
-800g de framboises
-400g de sucre
-1 cuillère à soupe de jus de citron
-20 graines de coriandre
-5 grains de poivre Sichuan
-2 capsules de cardamome


Comment ?
Étape 1 : Passez les framboises sous l’eau et laissez-les égoutter. Versez-les ensuite dans un saladier, ajoutez le sucre, épices et le jus de citron. Laissez macérer au frigo pendant une nuit.
Étape 2 : Faites cuire à feu doux pendant 30 minutes. Mixez (enlevez la cardamome avant) puis faites le test de l’assiette pour voir si la confiture est cuite sinon prolongez la cuisson.
Étape 3 : Faites bouillir les bocaux, faites-les sécher sur un chiffon propre et juste quelques minutes (tête en bas) et  remplissez-les de la confiture encore chaude. Fermez bien et laissez refroidir tête en bas.

dimanche 6 avril 2014

Il était une fois... un pesto d'ail des ours - version 2




Combien ?
L’équivalent d’un pot.


Quoi ?
-125g d’ail des ours
-1 gousse d’ail (optionnel)
-50g de pecorino
-50g de poudre d’amande
-100g de tomates séchées
-2dl d’huile d’olive (qui peut être celle des tomates séchées)
-sel et poivre


Comment ?
Les puristes utiliseront un mortier et un pilon pour écraser les ingrédients, les fainéants comme moi feront cela au blender ou au bras mixeur.
Étape 1 : Lavez soigneusement les feuilles et égouttez-les.
Étape 2 : Les ingrédients dans l’ordre : les feuilles d’ail des ours, la poudre d’amande, l’huile, le  pecorino, les tomates séchées,  la gousse d’ail si vous le souhaitez et le sel et le poivre. Pour que cela ne fasse pas surchauffer le blender, mixez une partie de chaque ingrédient puis réitérer l’opération plusieurs fois jusqu’à obtention d’un appareil homogène.


P.S. : Vous pouvez ajouter du parmesan si vous trouvez que le goût n’est pas assez prononcé. Vous pouvez aussi jouer sur la consistance en diminuant ou augmentant la quantité d’huile.

dimanche 25 août 2013

Il était une fois... un condiment vert presque tout pareil que celui du resto la Belle Verte




Mes nombreuses excursions au resto de La Belle Verte (http://www.labellevertebio.com) à Toulouse m’ont permis de cuisiner Le Frutti-pote Charles -un comble pour un cuisinier !-  et de récupérer la recette de cet accompagnement qui vient généralement sublimer les céréales qui agrémentent le plat. Alors bon, comme tout bon cuisinier qui se respecte, Charles ne parle pas en poids et mesure (à mon grand désarroi)… j’ai donc dû faire cela  « a visto de nas » comme on dit par chez nous. Résultat du test : concluant selon Frutti. Mais pas aussi bon que celui fait par Charles il faut l’avouer. Vous qui lisez ce post, il ne vous reste plus qu’à aller faire un tour à la Belle Verte pour goûter et comparer afin de me dire ce qui selon vous pourrez permettre à l’élève de surpasser le maître (il est permis de rêver).

Combien ?
Un bon bol bien rempli.

Quoi ?
-300g d’échalotes émincées
-50cl de vin blanc
-45g de persil
-25g de basilic
-20g de coriandre
-5g d’aneth
-3 cuillères à soupe de sauce Shoyou ou Tamari
-huile d’olive
-sel

Comment ?
Etape 1 : Faites réduire les échalotes dans le vin blanc à feu moyen.
Etape 2 : Pendant ce temps, lavez et ciselez finement les herbes aromatiques.
Etape 3 : Une fois le vin réduit, sortez la casserole du feu et  réduisez les échalotes en purée à l’aide d’un bras mixeur et ajoutez la sauce soja.
Etape 4 : Ajoutez les herbes ciselées, mélangez bien et laissez reposer quelques minutes (toujours hors feu). Salez et goutez pour voir si cela convient.
Etape 5 : Versez dans un récipient et couvrez d’huile d’olive. Cela se conserve très bien au frais.

Suggestion d’accompagnement : riz, quinoa, couscous, empanadas.

dimanche 23 juin 2013

Il était une fois... une confiture de fraises avec ses fleurs de sureau




Combien ?
Environ 2 à 3 pots.


Quoi ?
-500g de fraises
-250g de sucre
-jus d’1 citron
-4g de fleurs de sureau

Comment ?
Étape 1 : Lavez puis coupez les fraises en deux après les avoir équeutées. Versez la rhubarbe dans un saladier avec le sucre, le jus de citron. Mélangez bien et laissez macérer quelques heures.
Étape 2 : Faites cuire les fraises à feu doux jusqu’à ce qu’elle compote en prenant bien soin de remuer régulièrement afin que cela n’attache pas. Mixez le tout.
Étape 3 : Pendant que la confiture est sur le feu, passez vos ombrelles de sureau sous l’eau, secouez-les pour les égoutter et faire que les micro insectes qui s’y baladaient soient éjectés ; puis enlevez du bout des doigts les fleurs (oui, elles sont très petites et oui c’est pas facile).

Ajoutez les fleurs de sureau et laissez cuire doucement en tournant régulièrement.
Étape 4 : Pendant le temps de la cuisson préparez les bocaux en les lavant puis en les faisant bouillir dans une grande cocotte. Pour savoir si c'est cuit, faites le test de la goutte sur une assiette: si cela se fige alors votre confiture est prête à être mise en pot.


mardi 8 janvier 2013

Il était une fois... une confiture de tomates vertes




Combien ?  
Environ 4 pots. 

Quoi ? 
-1kg de tomates vertes
-500g de sucre
-4 cuillères à soupe de jus de citron
-2 bâtons de cannelle
-8 graines de cardamome

Comment ? 
Étape 1 : Lavez les tomates et coupez les en gros dés. Mette-les à macérer avec le sucre et le jus de citron.
Étape 2 : Faites cuire à feu doux. Passez au bras mixeur pour obtenir un mélange plus homogène en ayant pris soin de retirer les bâtons de cannelle et la cardamome.
Étape 3 : Y’a plus qu’à mettre en pot.

jeudi 4 octobre 2012

Il était une fois... de la confiture de figue en veux-tu en voilà



Contrairement à ma session « pommes » qui remonte à quelques semaines maintenant, ma session «  figues »  n’est pas le fruit (haha) d’un achat compulsif quelconque. Cette fois-ci, pas de promo alléchante pour des tonnes de fruits. Non, il s’agit seulement d’un cadeau d’une maman d’élève un tantinet omniprésente souhaitant faire plaisir. Et pour ceux qui se le demanderaient : non, je n’ai rien contre les bakchichs… Mon bakchich préféré : les gâteaux que les élèves nous ramènent pour célébrer l’Aid El-Fitr.  


Confiture mi-figue mi-raisin (ou presque)

Combien ?
1 pot et des cuillères.

Quoi ?
-130g de petits raisins noirs
-370g de figues
-250g de sucre
-2 cuillères à soupe de jus de citron
-10 cerneaux de noix (optionnel)

Comment ?
Étape 1 : Lavez les fruits et coupez les figues en 4. Mettez tous les fruits  (raisin et figues) à macérer avec le sucre et le jus de citron.
Étape 2 : Faites cuire à feu doux. Passez au bras mixeur pour obtenir un mélange plus homogène.
Étape 3 : Si vous choisissez l’option « noix » alors ajoutez les cerneaux de noix. Faites cuire une ou deux minutes à feu vif avant de mettre la confiture en pot.
Étape : Y’a plus qu’à mettre en pot.


Confiture figue au rhum

Combien ?
3 pots.

Quoi ?
-1kg de figues
-4 à 8 cuillères à soupe de rhum ambré (plus de cuillères = plus de rhum au goût !!)
-1 gousse de vanille
-500g de sucre
-jus d’1 ½  citron

Comment ?
Même méthode que ci-dessus.

dimanche 23 septembre 2012

Il était une fois... une confiture et ron et ron petit po(mme)tiron



Confiture atypique mais qui se laisse déguster le matin sur une tartine de beurre. Ne vous fiez pas aux apparences et laissez-vous tenter par cette alliance aussi surprenante que savoureuse.

Combien ?
Environ 3 pots.



Quoi ?
-650g de potiron
-300g de pommes
-500g de sucre
-1 cuillère à café de cannelle
-1 cuillère à café d’extrait de vanille
-1/2 cuillère à café de clou de girofle en poudre

Comment ?
Etape 1 : Pelez le potiron et coupez le en morceaux. Faites-les bouillir dans l’eau jusqu’à ce qu’ils soient cuits. Egouttez-les, laissez refroidir puis mélangez à la moitié de leur poids en sucre (350g environ).
Etape 2 : Pelez les pommes, coupez les en morceaux et mélangez-les à la moitié de leur poids en sucre (150g environ).
Etape 3 : Ajoutez les pommes au potiron et mélangez bien. Ajoutez la cannelle, l’extrait de vanille et la poudre de clou de girofle. Laissez macérer quelques heures.
Etape 4 : Faites cuire les morceaux de pommes et de potiron à feu doux jusqu’à ce que les pommes compotent. Passez au bras mixeur pour obtenir un mélange plus homogène. Faites cuire une ou deux minutes à feu vif avant de mettre la confiture en pot.

mercredi 5 septembre 2012

Il était une fois... une confiture de rhubarbe ornée de fleurs de sureau



Je l’avoue : c’est MA confiture préférée (bon ok, à égalité avec la confiture rhubarbe-fraise). On y sent le goût de la rhubarbe, cette légère acidité qui lui est propre mais on y retrouve aussi ce petit goût fleuri et odorant si caractéristique du sureau. 
Les amateurs de rhubarbe ET de sureau seront conquis, j'en mettrai ma manique au feu (courageuse mais pas téméraire). Et puis s'ils ne le sont pas, cela restera quand même MA confiture préférée.

Combien ?
Environ 2/3 pots.


Quoi ?
-500g de rhubarbe
-250g de sucre
-2 cuillères à soupe de jus de citron
-2 ombrelles de sureau

Comment ?
Etape 1 : Lavez puis pelez les tiges de rhubarbe en tronçons. Versez la rhubarbe dans un saladier avec la moitié de son poids en sucre, le jus de citron  et  2 rondelles de citron. Mélangez bien et laissez macérer quelques heures.
Etape 2 : Faites cuire la rhubarbe à feu doux jusqu’à ce qu’elle compote en prenant bien soin de remuer régulièrement afin que cela n’attache pas.
Etape 3 : Pendant que la rhubarbe est sur le feu, passez vos ombrelles de sureau sous l’eau, secouez-les pour les égoutter et faire que les micro insectes qui s’y baladaient soient éjectés ; puis enlevez du bout des doigts les fleurs (oui, elles sont très petites et oui c’est pas facile).
Ajoutez les fleurs de sureau en cours de cuisson de la rhubarbe et laissez cuire doucement en tournant régulièrement.
Etape 4 : Pendant le temps de la cuisson préparez les bocaux en les lavant puis en les faisant bouillir dans une grande cocotte. Il ne vous restera plus qu’à mettre en pot. Une fois les pots remplis et bien fermés, retournez-les et laissez-les ainsi refroidir la tête en bas.

vendredi 22 juin 2012

Il était une fois... strawberry jam forever.

Deux recettes que l’on doit à mon frigo de mauvaise facture : les barquettes de fraises que j’avais achetées au marché n’auront pas tenu plus de deux jours. Et que faire avec des fraises qui ont mauvaise mine (afin certaines auraient même pu être classées dans la catégorie « sale gueule » ? Et bien de la confiture. Et sinon pour mes aubergines, je fais quoi ??
                                                                                                                   
Quand la fraise fait les yeux doux à la rhubarbe.

Combien ?
3 pots (1 pot = 300ml).

Quoi ?
-500 g de rhubarbe lavée et découpée
-250g de fraises équeutées et lavées
-350g de sucre
-4 rondelles de citron
-jus d’1/2 citron

Comment ?
Etape 1 : Lavez puis pelez les tiges de rhubarbe en tronçons. Lavez les fraises puis équeutez-les et coupez-les en morceaux. Versez la rhubarbe dans un saladier avec la moitié de son poids en sucre, la moitié du jus de citron  et  2 rondelles de citron. Faites-en de même pour les fraises. Mélangez bien et laissez macérer quelques heures.
Etape 2 : Faites cuire la rhubarbe à feu doux jusqu’à ce qu’elle compote en prenant bien soin de remuer régulièrement afin que cela n’attache pas.
Etape 3 : Ajoutez les fraises en cours de cuisson de la rhubarbe et laissez cuire doucement. Passez un coup de mixeur de façon à réduire en purée les éventuels gros morceaux.
Etape 4 : Pendant le temps de la cuisson préparez les bocaux en les lavant puis en les faisant bouillir dans une grande cocotte.
 

Quand la fraise fricote avec le gingembre et la cardamome.

Combien ?
1 pot (1 pot = 300ml).

Quoi ?
-350g de fraises
-170g de sucre
-1 cuillère à soupe de jus de citron
-3 graines de cardamome
-6 tranches de gingembre frais
-2 à 4 cuillères à café de gingembre en poudre

Comment ?
Grosso modo : comme la recette ci-dessus (mélangez tous les ingrédients, laissez macérer puis faites cuire). Pensez à enlever les morceaux de gingembre et les graines de cardamome avant de mixer. Vous pouvez toujours les remettre après si vous le souhaitez.


Quand la fraise fait du gringue au basilic.

Combien ?
2 pot (1 pot = 500ml).

Quoi ?
-1kg de fraises
-500g de sucre
-jus d’1 citron
-4 cuillères à soupe de vinaigre balsamique
-5 feuilles de basilic par pot

Comment ?
Etape 1 : Lavez les fraises puis équeutez-les et coupez-les en morceaux. Versez les fraises dans un saladier avec le sucre, le jus de citron. Mélangez bien et laissez macérer quelques heures.
Etape 2 : Faites cuire à feu doux avec le vinaigre balsamique puis mixez.
Etape 3 : Mettez en pot après avoir pris soin de les stériliser. Au moment de verser la confiture déposez 5 feuilles de basilic dans le pot.

mercredi 13 juin 2012

Il était une fois... une sauce à la mangue made in India

Vous voyez cette sauce à la mangue que l’on vous sert en accompagnement de vos samosas, pokaras ou oignons bahji ? Non ? Mais si, cette sauce légèrement sucrée que vous versez abondamment sur tout ce qui atterrit dans votre assiette : samossas, chou râpé, tranche de concombre et même de tomate. Celle qui arrive en même temps que la sauce à la menthe et la sauce qui arrache ?? Ça y est, vous voyez la sauce dont je parle ? Ben la voilà !

Combien ?
Environ 2 pots.

Quoi ?
-250ml de pulpe (chair) de mangue
-1 cuillère à café de graines de carvi
-1 cuillère à café de moutarde en grains
-1 piment séché
-1 pincée de curcuma
-2 cuillères à soupe d’huile de tournesol ou de colza
-300ml de jaggery* (sucre jagré)
-125ml de vinaigre de riz
-sel

*« jaggery » en anglais = sucre non raffiné qui résulte de la concentration de jus de canne à sucre séchée réputé pour ses valeurs nutritives et médicinales (il contient des protéines, des minéraux et des vitamines ; il est aussi  une bonne source de fer ; et nec plus ultra il purifie le sang et régule le système rénal).

Comment ?
Etape 1 : Coupez les mangues en morceaux et réduisez-les en une compote grossière.
Etape 2 : Même principe que le chutney : mélangez la pulpe et tous les ingrédients et faites les cuire dans une casserole jusqu’à ce que le vinaigre réduise et que la sauce épaississe. Il ne vous reste plus qu'à mettre en pot.

jeudi 19 avril 2012

Il était une fois... un dip d'artichaut artisanal

Un bon dip qu’apprécieront les amateurs artichaut (car oui le goût est prononcé donc si vous n’êtes pas un fan, il y a des chances que vous ne soyez guère conquis). Une bonne alternative aux traditionnels dips type tapenade, caviar d’aubergine ou houmous.


Combien ?

Environ 250ml (un verre).


Quoi ?

-1 boîte de fonds d’artichaut (10/12 fonds environ)

-50g de parmesan

-4 cuillères à soupe de séré maigre

-2 cuillères à soupe de jus de citron

-sel et poivre


Comment ?

Etape 1 : Faites bouillir les fonds d’artichaut pendant 5 minutes.

Etape 2 : Mixez les fonds d’artichaut, le séré, le parmesan et le jus de citron.

Etape 3 : Assaisonnez à votre convenance.

P.S. : Vous pouvez jouer sur la texture en ajoutant un peu plus de séré et sur l’acidité en ajoutant un peu plus de citron.

Suggestion d’accompagnement : des gressins.

Il était une fois... un pesto d'ail des ours qui n'empeste pas

L’ail des ours… oui, drôle de nom pour cette plante herbacée que l’on trouve dans les sous-bois frais et ombragés et qui se déguste crue (salade, pesto) ou cuite (soupe, tisane). Une session cueillette peut être un bon prétexte pour aller se balader en forêt au mois de mai.

Le pesto d’ail des ours… et bien je ne vous prendrai pas en traitre : ce pesto aussi délicieux soit-il présente un seul inconvénient… ou avantage, selon le point de vue. N’espérez pas compter fleurette à votre douce juste après le repas car votre haleine aillée risque de rompre le charme. Par contre, aucun risque de vous faire mordre par un vampire !!


Combien ?

L’équivalent d’un pot de confiture (250ml).


Quoi ?

-125g d’ail des ours

-2 gousses d’ail (optionnel)

-50g de parmesan

-50g de pignon de pain

-2dl d’huile d’olive

-sel et poivre


Comment ?

Les puristes utiliseront un mortier et un pilon pour écraser les ingrédients, les fainéants comme moi feront cela au blender ou au bras mixeur.

Etape 1 : Lavez soigneusement les feuilles et égouttez-les.

Etape 2 : Faites dorer à la poêle les pignons de pin (attention à ce qu’ils ne brûlent pas) sans ajouter de matière grasse.

Etape 3 : Les ingrédients dans l’ordre : les feuilles d’ail des ours, les pignons de pin, un peu d’huile, un peu de parmesan (et ainsi de suite en intercalant jusqu’à avoir mis les quantités préconisées), les gousses d’ail si vous le souhaitez et le sel et le poivre.

P.S. : Vous pouvez ajouter du parmesan si vous trouvez que le goût n’est pas assez prononcé. Vous pouvez aussi jouer sur la consistance en diminuant ou augmentant la quantité d’huile.

mardi 27 mars 2012

Il était une fois... une mayo vegan au curry

Combien ?

Environ 500ml.


Quoi ?

-175ml de lait de soja

-1 jus de citron

-2 cuillères à café de moutarde (en grain si vous le voulez)

-1 à 3 cuillères à café de curry en poudre (tout dépend du curry que vous avez… il faudra goûter et ajouter si le g oût n’est pas assez prononcé)

-sel et poivre

-huile de colza


Comment ?

Etape 1 : Dans un récipient ajoutez le jus de citron au lait de soja.

Etape 2 : Ajoutez la moutarde, le sel, le poivre et le curry en poudre.

Etape 3 : Utilisez un batteur et versez tout doucement un filet d’huile en continu jusqu’à ce que la mayonnaise prenne. N'arrêtez pas de battre. La mayonnaise devrait monter. Un fois que celle-ci s’est épaissie et que le goût vous convient (s’il faut rajouter du sel ou du curry, faites-le et battez à nouveau), mettez-la au réfrigérateur pendant 1 bonne heure.

dimanche 19 juin 2011

Il était une fois... une sauce citron/moutarde pour pommes de terre

La patate n'a pas l'âme d'une solitaire, elle est faite pour être accompagnée que ce soit d'une noix de beurre, d'une cuillère de crème fraîche avec de la ciboulette ou encore d'une sauce relevée. Une patate sans sauce c'est un peu comme le hachis sans le parmentier ou encore le gratin sans le dauphinois. Voilà une recette simple et rapide à réaliser qui redonnera ses lettres de noblesse à notre amie la patate... qui redeviendra pomme de terre.


Combien ?

Pour 3 ou 4 portions de pommes de terre .


Quoi ?

-le jus d’1 citron

-huile d’olive (quantité équivalente au jus)

-1 cuillère à café bien généreuse de moutarde en grains

-1 gousse d’ail

-sel, poivre


Comment ?

Etape 1 : Pressez le citron et versez le jus dans un pot avec couvercle.

Etape 2 : Ajoutez la même quantité d’huile d’olive que de jus dans le pot.

Etape 3 : Ajoutez la moutarde en grains, la gousse d’ail passée au presse-ail, le sel et le poivre.

Etape 4 : Refermez votre pot et secouez bien. C’est prêt.


Suggestion d’accompagnement : Petits pommes de terre nouvelles cuites dans l’eau ou légèrement revenues à la poêle.

dimanche 22 mai 2011

Il était une fois... une gelée de pommes et son bâton de cannelle

Cela fait environ 4 mois qu’un paquet d’agar agar traîne gentiment au fond d’une boîte à côté des sachets de levures, de sucre vanillé et autres colorants alimentaires. En flânant dans les rayons du magasin bio où nous faisions nos courses, j’avais acheté sur un coup de tête ce petit paquet au nom exotique qui me faisait de l’œil… et depuis je l’avais complètement oublié dans un coin. Jusqu’à aujourd’hui…

La journée de ménage avec thématique « nettoyage des éléments de la cuisine » (la préférée de Frutti) m’a permis de me retrouver nez à nez (nez avec chiffon ?) avec le paquet d’agar agar. Après le dépoussiérage du ménage, le dépoussiérage des méninges : mais que vais-je bien pouvoir cuisiner avec ce truc là ? Lecture du mode d’emploi : « Extraits d’algues rouges, l’agar agar est un composant végétal naturel en poudre qui donne à vos préparations culinaires une agréable texture gélifiée ». Un gélifiant pour faire de la gelée… Elémentaire mon cher Frutti!


Combien ?

Au moins 2 pots.


Quoi ?

-1kg de pommes bio

-8dl d’eau

-1 citron (jus + écorce)

-300g de sucre (soit la moitié du poids de jus de pommes récolté)

-1 bâtonnet de cannelle

-3g d’agar agar (proportion : 1 sachet de 2g pour ½ L)


Comment ?

Etape 1 : Faites cuire dans l’eau à feu doux les pommes en ajoutant le jus de citron et les écorces.

Etape 2 : Une fois que les pommes ont la consistance des pommes de la tarte tatin (soit 1 heure de cuisson à 4), filtrez le jus au travers un tissu alimentaire. Laissez le tout s’égoutter pendant bien une heure sans presser les pommes.

Etape 3 : Pesez le jus obtenu et prenez la moitié de ce poids en sucre (dans mon cas, j’avais obtenu 723g de jus ce qui donne 300g de sucre).

Etape 4 : Mettez le jus, le sucre et la cannelle dans une casserole et portez à ébullition. Ajoutez l’agar agar et remuez bien que cela prenne partout. Mettez en pot (sans avoir oublié de les laver et de les stériliser au préalable).